วันพฤหัสบดีที่ 12 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2552

Éducation


L'éducation est le développement dirigé des facultés physiques, psychiques et intellectuelles ; les moyens et les résultats de ce développement. Spécialement, l'éducation humaine inclut ces apprentissages et des éléments culturels caractéristiques du lieu et de la période historique.

Éducation, instruction ou enseignement

Éducation est directement issu du latin educatio de même sens, lui-même dérivé de ex-ductare (ductare signifie conduire, guider, commander et ex, "dehors") : faire produire (la terre), faire se développer (un être vivant)[1].
Enseigner, c'est transmettre à la future génération un
corpus de connaissances (savoir et savoir-faire) et de valeurs considérées comme faisant partie d'une culture commune. Il est souvent facile de confondre enseignement et éducation. En effet, ce dernier terme, beaucoup plus général, correspond à la formation globale d'un individu, à divers niveaux (au niveau religieux, moral, social, technique, scientifique, médical, etc.). Le terme enseignement, de son côté, se réfère plutôt à une éducation bien précise, soit celle 'de la transmission de connaissances à l'aide de signes'[réf. nécessaire]. « Signes » et « enseignement » dérivent d'ailleurs de la même racine latine. Ces signes utilisés pour la transmission de connaissances font, entre autres, référence au langage parlé et écrit.
Enseigner est donc éduquer, mais éduquer n'est pas forcément enseigner.
L'éducation ne se limite pas à l'instruction stricto sensu qui serait relative seulement aux purs savoir et savoir-faire (partie utile à l'élève : savoir se débrouiller dans le contexte social et technique qui sera le sien).
Elle vise également à assurer à chaque individu le développement de toutes ses capacités (physiques, intellectuelles et morales). Ainsi, cette éducation lui permettra d'affronter sa vie personnelle, de la gérer en étant un citoyen responsable dans la société dans laquelle il évolue, capable de réfléchir pour pouvoir éventuellement construire une nouvelle société.
En pratique, tout le monde est d'accord pour considérer que certains savoirs essentiels font partie du bagage minimum du citoyen, et qu'inversement il n'est pas d'
enseignement possible sans un minimum de pures conventions (comme l'alphabet par exemple) et de capacités relationnelles, dont d'éducation. Instruction et éducation sont souvent confondues. Les différences, subtiles, restent la base de controverses depuis longtemps, le littré en fait foi dans son choix d'exemple pour sa définition d'éducation
Mais il faut remarquer que l'instruction s'enseigne, et que l'éducation s'apprend par un autre mode d'action du maître, quel qu'il soit.
Au début du
XXe siècle, la science de l'éducation désignait la pédagogie. Aujourd'hui, en France, depuis la création en 1967 du département universitaire de Sciences de l'éducation l'expression s'emploie au pluriel. Les problèmes d'éducation s'étudient en empruntant à plusieurs disciplines des sciences humaines (sociologie, psychologie, biologie, économie, philosophie de l'éducation, etc.).

Enjeux

L'éducation est universellement considérée comme un enjeu essentiel, en tant que véhicule de transmission aux générations ultérieures et en tant que moyen de défense et de pouvoir des personnes bien éduquées ou, au contraire, d'asservissement de personnes soumise à un "bourrage de crâne" (racisme, xénophobie, légitimation de la violence contre un ennemi, inculcation du caractère normal d'une position sociale inférieure, ...).

Un droit reconnu au niveau international

Selon la convention des droits de l'enfant, l'éducation est un droit garanti par les États, et doit avoir les objectifs suivants[2]:
Favoriser l'épanouissement de la personnalité de l'enfant et le développement de ses dons et de ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leurs potentialités ;
Inculquer à l'enfant le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et des principes consacrés dans la Charte des Nations Unies ;
Inculquer à l'enfant le respect de ses parents, de son identité, de sa langue et de ses valeurs culturelles, ainsi que le respect des valeurs nationales du pays dans lequel il vit, du pays duquel il peut être originaire et des civilisations différentes de la sienne ;
Préparer l'enfant à assumer les responsabilités de la vie dans une société libre, dans un esprit de compréhension, de paix, de tolérance, d'égalité entre les sexes et d'amitié entre tous les peuples et groupes ethniques, nationaux et religieux, et avec les personnes d'origine autochtone ;
Inculquer à l'enfant le respect du milieu naturel.

Un droit dans lequel les états s'impliquent

Certains considèrent que l'État doit surveiller étroitement l'éducation délivrée sur leur territoire et la formation des maîtres, pour plusieurs motifs :
assurer ses responsabilités, à l'égard des enfants (Cf. le droit à l'éducation mentionné plus haut) et de la culture ou l'identité nationale.
éviter l'implication d'autres acteurs, aux motivations plus douteuses (en tout cas supposées ou présentées comme telles) : institutions religieuses (dogmatisme, sectarisme, etc.), entreprises (recherche de profit, etc.).
donner les moyens, notamment financiers, puisque l'état est généralement l'acteur le plus riche dans ses frontières.
contrôler la qualité et assurer l'égalité de traitement des diplômés de même niveau, selon leurs résultats à des examens identiques.
assurer que le spectre des enseignements dispensés est conforme à l'intérêt du pays et des élèves eux-mêmes, sans excès d'étudiants dans des domaines déjà bien pourvu (
numerus clausus) ni manques dans des filières en recherche de personnel.
...
Cependant, quantité de penseurs de premier plan sont d'un avis opposé. Par exemple
Condorcet, grand philosophe du Siècle des Lumières, dans son Premier mémoire sur l'instruction publique (1791), intitulé "l'éducation publique doit se borner à l'instruction", troisième raison : "Parce qu'une éducation publique deviendrait contraire à l'indépendance des opinions", affirme :
"la
vérité seule peut être la base d'une prospérité durable, et que les lumières croissant sans cesse ne permettent plus à l'erreur de se flatter d'un empire éternel, le but de l'éducation ne peut plus être de consacrer les opinions établies, mais, au contraire, de les soumettre à l'examen libre de générations successives, toujours de plus en plus éclairées".
John Stuart Mill, dans ses Principes d'économie politique, (1848, livre V ch XI), déclare à son tour :
"Il n'est pas tolérable qu'un gouvernement ait, de jure ou de facto, un contrôle complet sur l'éducation des gens. Posséder ce contrôle et surtout l'exercer est le propre d'un comportement despotique.
Un gouvernement qui puisse mouler les opinions et les sentiments des gens depuis l'enfance jusqu'à la jeunesse peut faire avec eux ce qu'il veut."
Cette position est corroborée par le soin des régimes tyranniques ou totalitaires à enrôler leur jeunesse (
Komsomol, Hitlerjugend,...). Elle se reflète en outre dans les tollés que provoque le pouvoir politique lorsqu'il impose par la loi un contenu à enseigner, comme on à pu le voir en France à propos de lois fixant des vérités historiques, ou aux USA à propos de lois combattant plus ou moins sournoisement le darwinisme en tant que contraire à une lecteur littérale de la Bible.

Investir dans l'éducation

L'économie de l'éducation s'est développée dans les années 1960, pour étudier l'influence de l'éducation sur le développement économique.
La théorie du
capital humain présentée en 1964 par Gary Becker, associait l'éducation à un investissement pour l'individu, pour leurs employeurs et plus généralement pour la société. Il affirme que les savoir transmis par l'éducation améliorent directement les performances des individus. Cet investissement est alors considéré comme avantageux si les gains de productivités futurs sont plus importants que les coûts de la formation. Elle peine cependant à expliquer l'attrait de filières éducatives privilégiant la culture générale par rapport à celle proposant une formation opérationnelle des individus, à priori plus mobilisables sur le marché du travail.
Une hypothèse alternative, la
théorie du signal, a donc été développée dans les années 1974 par le canadien Michael Spence. On retrouve des idées similaires dans le rôle de filtrage assigné au système éducatif par Kenneth Arrow.

Les grands domaines éducatifs

Savoir, savoir-faire, être et savoir-être

Schématiquement, on peut distinguer quatre grands domaines éducatifs : le savoir, le savoir-faire, l'être et le savoir-être.
Le savoir correspond aux connaissances intellectuelles. Les recherches en éducation relatives au savoir ont pour objectif de trouver tous les moyens
pédagogiques permettant aux apprenants d'acquérir au mieux des connaissances : lecture, écriture, mathématiques, connaissances sur l'Homme et sur l'environnement écologique, métaconnaissances, ...
Le savoir-faire correspond à des compétences pratiques, de l'expérience dans l'exercice d'une activité artisanale, artistique ou intellectuelle. Ces capacités s'acquièrent par la pratique régulière d'une activité et en partie par l'apprentissage d'automatismes moteurs. Les recherches en éducation relatives au
savoir-faire ont pour objectif de trouver tous les moyens pédagogiques permettant aux apprenants d'acquérir au mieux des compétences et des habiletés pratiques.
L'être correspond à l'état physique et psychique du sujet. Les recherches en éducation relatives à l'être ont pour objectif de trouver tous les moyens pédagogiques permettant, dans les situations éducatives, de favoriser voire d'atteindre l'état physique et psychique optimal : état de
santé, de bien-être, de motivation, de confiance et de satisfaction des besoins psychiques primordiaux (plaisir, "liberté", reconnaissance, sécurité, justice, authenticité, intimité, diversité, confort, créativité, affection, ...).
Le savoir-être correspond à la capacité de produire des actions et des réactions adaptées à l'environnement humain et écologique. Cette capacité s'acquiert en partie par la connaissance de savoirs spécifiques. Les recherches en éducation relatives au savoir-être ont pour objectif de trouver tous les moyens pédagogiques permettant aux apprenants d'acquérir au mieux la maîtrise d'actions et de réactions adaptées à leur organisme et à leur environnement : préservation de l'environnement, hygiène,
empathie, contrôle émotionnel, contrôle comportemental, responsabilisation, actions pro-sociales, coopération, discours autocentré (langage "je"), gestion des conflits ...

Construire son savoir

La pédagogie moderne considère que la transmission traditionnel simple (instruction) doit laisser la place une pédagogie où l'élève construit (et non pas crée !) son savoir lui-même. Par exemple, selon cette conception, il semble plus essentiel qu'un élève soit capable de construire le concept de département et d'en identifier un à partir d'une carte ou d'un dictionnaire, plutôt qu'il connaisse par cœur tous les départements sans savoir quelles en sont les attributions, le fonctionnement, etc. De même, il semble plus important de savoir consulter internet ou un dictionnaire, que de connaitre par soi-même un répertoire étendu de vocabulaire, avec son orthographe correcte.
Mais ce concept est contesté, parfois violemment et des mots très durs (stalinisme, terrorisme intellectuel, dressage, formatage, coterie des UIFM, ...), en lui reprochant de porter une part de l'échec scolaire et social actuellement imputé au système. Les opposants dénoncent comme artificiel (et inefficace et stressant) la prétendue "
construction" par les élèves d'un savoir qui suppose en réalité un niveau supérieur au leur, parfois universitaire voire doctoral (exemple : construction des nombres et d'une opération aussi simple que la soustraction, en primaire, par la méthode ensembliste)[3], quand elle ne suppose pas des prises de risques inconsidérés (à propos du code de la route ou autres situations potentiellement dangereuses, par exemple). Ils soutiennent que les enfants peuvent et doivent, avec pas moins de plaisir et de motivation, apprendre "par cœur" et par obligation si nécessaire, sinon les départements, du moins l'alphabet, les tables de multiplication, les principales règles de toutes sortes (sociales, grammaticales, mathématiques, physiques...)[4]. Ces contestataires, à leur tour, se voit accusés de démarches rétrogrades, réactionnaires, de mauvaise foi, etc.

Éducation formelle et éducation non formelle

Le concept d'éducation non formelle est né du constat que l'école n'était, et loin s'en faut, pas l'unique lieu d'éducation. C'est ainsi que la première source d'éducation reste la famille et l'entourage, avec tous les enjeux de « reproduction sociale » que cela implique. En France, Bourdieu et Passeron ont soutenu que le système scolaire reproduit le système social grâce à une culture scolaire insuffisante et à une culture libre que les familles les plus aisées transmettent à leurs enfants pour qu'ils accèdent en haut de l'échelle sociale.
En outre, à côté de ses missions d'éducation et d'instruction, le système éducatif est contesté pour opérer, par construction, une sélection (orientation vers des métiers, ou vers de hautes carrières administratives) : l'élève reçoit une instruction gratuite, mais il payerait cette gratuité en étant transformé en un produit relativement passif du « système (de production) scolaire ». L'école exige de l'élève qu'il s'intègre à l'institution scolaire, à travers la maîtrise d'un certain nombre de connaissances de base dont l'ensemble n'est pas toujours formalisé. D'autre part elle ne peut transmettre qu'un corpus rationalisé et fait l'impasse sur une grande partie du fond commun culturel (le « bon sens », les
tabous, la communication non verbale, etc.). Enfin, malgré les progrès de la formation continue, elle ne dure qu'un temps relativement bref dans la vie d'un individu.
Pour toutes ces raisons, il apparaît utile à certains d'élargir la réflexion sur l'éducation, sans la réduire au cadre scolaire. Ainsi, l'éducation non formelle, qui apporte des compétences spécifiques à l'individu et que celui-ci ne peut acquérir (Tiehi, 1995) dans le cadre de l'éducation formelle, est notamment délivrée au sein des organisations de jeunesse.
Malgré tout cela, l'éducation a permis, historiquement, en France, à une grande partie des classes défavorisées d'accéder à un statut de classe moyenne. Pour certains, son orientation actuelle vers une professionnalisation précoce d'une partie de la jeunesse serait contradictoire avec sa finalité de culture générale des élèves pour leur épanouissement dans la société en tant que citoyen. Pour d'autres, elle peut faciliter au contraire cette intégration dans la vie sociale et professionnelle, objectif tout aussi essentiel de l'éducation.

วันจันทร์ที่ 2 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2552

La rose dans les Arts




La « fresque à l’oiseau bleu » découverte en 1900 dans les vestiges du palais de Cnossos en Crète, construit vers l’an 2000 avant Jésus-Christ, représente des rosiers fleuris[14]. C’est la première représentation connue de roses peintes. On ne sait s’il s’agit de roses sauvages ou cultivées, ni à quelle espèce les attribuer, d’autant plus que la fresque a été restaurée et toutes les roses repeintes avec six pétales de couleur jaune. Une seule, à cinq pétales rose doré, au centre orange, semble être originale. Le botaniste C.C. Hurst l’avait identifiée à Rosa richardii, la rose sainte d’Abyssinie. Les pièces de monnaie portant une rose gravée les plus anciennes ont été trouvées à Rhodes et datent de 500 avant Jésus-Christ environ[15]. Le nom de cette île serait celui de la nymphe Rhodé, épouse d’Hélios, et dont le symbole était la rose.


Une broderie de roses ‘Persan Yellow’ du XVIIe siècle a été retrouvée à Ispahan. Et les roses n’ont jamais cessé d’être un motif décoratif des tapisseries, broderies et tissages au Moyen-Orient comme en Europe.

L’art du vitrail avec les rosaces, ouverture circulaire ornée de vitraux dans les églises, roses sublimées par la foi et l’habileté des maîtres verriers.

En peinture, la rose est présente dans de nombreux tableaux liés à l’amour et en particulier à l’« amour universel » que représente la Vierge Marie aussi appelé,"la rose sans épines" [16]. Ainsi la Naissance de Vénus, de Sandro Botticelli nous montre un ciel où roses et pétales flottent au vent. On retrouve la rose dans les natures mortes des peintres flamands et hollandais du XVIIe siècle, avec de somptueuses compositions florales, ainsi que chez les impressionnistes.

Pierre-Joseph Redouté (1759-1840) compose de 1817 à 1824 son ouvrage en trois volumes Les roses, planches en eau-forte en pointillé coloriée dont le texte est rédigé par le rosiériste Claude-Antoine Thory. Ces aquarelles sont exécutées d’après la collection de la Malmaison de l’impératrice Joséphine et publiées entre 1817 et 1824.

C’est un motif décoratif constant des faïences qui présentent très fréquemment dès le XVIIe siècle en motif central des assiettes et des plats une rose ou un bouquet à la rose, monochrome ou polychrome. porcelaines.

On n’oubliera pas un art, la chanson, qui a valu à la rose pas mal de triomphes. Plusieurs générations de Français ont pleuré en écoutant Les Roses blanches, chanson de Pothier et Raiter, interprétée pour la première fois par Berthe Sylva en 1927. On pensera aussi, à des airs qui ont franchi les siècles sans perdre une ride, et spécialement À la claire fontaine et Vive la rose et le lilas . On peut citer également Roses de Picardie, composée en 1916 par Haydn Wood et interprétée notamment par Yves Montand et Rosa, chantée par Jacques Brel, dont une déclinaison latine, Rosa, rosa, rosam…, servait de refrain.

Peu de roses par contre dans les titres de films, sinon The Rose de Mark Rydell avec Bette Midler (1979), La Rose pourpre du Caire de Woody Allen, Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud (1986) et Bread and Roses de Ken Loach (2000).



La rose a servi de modèle au Pokémon Rosélia qui est issu de la troisième génération de Pokémon. Dans la quatrième génération, Roselia gagne une évolution Rosérade qui est une sorte de rosier et une préévolution Rozbouton qui est un bouton de rose. Les Pokémon sont des personnages de jeu vidéo, de manga (un sous-genre de la Bande Dessinée considérée comme le 9e Art) et de japanimation (10 films ont été à ce jour tournés, le cinéma est appelé le 7e Art) dont les représentations sont reprises sur de multiples supports. Leur origine moderne et japonaise tant à affirmer que la rose est toujours un modèle de référence de la fleur dans l’imaginaire collectif et non pas seulement occidental.

วันพุธที่ 14 มกราคม พ.ศ. 2552

Raisin




Le raisin est le fruit amélioré de la vigne cultivée (Vitis vinifera). C'est le deuxième fruit le plus cultivé au monde (après les agrumes, cf classement). Il se présente sous la forme de grappes composées de nombreux grains, qui sont sur le plan botanique des baies, de petite taille et de couleur claire, le raisin blanc (verdâtre, jaunâtre, jaune doré) ou plus foncée, le raisin rouge (rose ou noir-violet).

Il sert surtout à la fabrication du vin à partir de son jus fermenté (on parle dans ce cas de raisin de cuve), mais se consomme également comme fruit, soit frais, le raisin de table, soit sec, le raisin sec qui est utilisé surtout en pâtisserie ou en cuisine. On consomme également du jus de raisin frais. Des baies on extrait aussi l'huile de pépins de raisin.

Les deux plus importantes variétés de cépage sont :

Vitis vinifera, originaire d'Europe, à partir de laquelle découlent tous les grands cépages pour le vin et le raisin de table..
Vitis labrusca, originaire de l'Amérique du Nord, est utilisé essentiellement comme raisin de table et un petit peu pour le vin. Lors de l'attaque des vignes européennes par le Phylloxéra, les cépages européens ont pu être sauvés en les greffant sur des souches de vitis labrusca.

Composition et valeur nutritive

Sa forte teneur en sucre peut entraîner une cristallisation du sucre avec le temps. Pour décristalliser un raisin, il suffit de le plonger dans un liquide (de l'alcool, du jus de fruit ou de l'eau bouillante), le temps que le sucre se dissolve.

Riche en vitamines A, B et C, le raisin contient à peu près tous les oligo-éléments dans un équilibre parfaitement assimilable par l'organisme. Énergétique, reminéralisant, détoxiquant, rafraîchissant, laxatif, le raisin a aussi un effet sur la mémoire, le renouvellement des cellules ou encore la protection des vaisseaux sanguins. La consommation de raisin est particulièrement indiqué dans les cas d'infections à répétition, de problèmes hépatiques, nerveux ou digestifs, d'hypertensions, de constipation ou d'insomnies.[réf. nécessaire] La peau du raisin peut être indigeste, surtout s'il n'est pas bien lavé.


Raisin, environnement et santé

Le raisin est depuis longtemps réputé bon pour la santé, grâce à son contenu en vitamines (dont la vitamine B1, B2, B6, B12, PP), en acides organiques (acide malique,acide tartrique que l'organisme métabolise facilement), en polyphénols (anti-oxydants de la familles des flavonoïdes et anthocyanes), en minéraux alcalinisant (potassium, et moindrement magnésium, manganèse et zinc) et en sucres facilement assimilables (fructose notamment). Mais sa culture industrielle est accusée de polluer l'environnement par les pesticides. En outre, les analyses faites des raisins vendus en grandes surfaces en Europe ont montré qu'une partie importante de ces raisins sont porteurs de résidus de pesticides (dont,exceptionnellement des molécules interdites en Europe et/ou dans le pays producteur), qui pourraient affecter la santé humaine. La production de vin issu de la viticulture biologique augmente lentement, mais la part des raisins de table issus de l'agriculture biologique reste faible.
L'exposition des viticulteurs et des riverains aux pesticides lors des traitements pourrait en outre affecter leur santé, certains pouvant être toxique ou jouer le rôle de perturbateurs endocriniens à faible doses.

วันพุธที่ 15 ตุลาคม พ.ศ. 2551



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Le pouvoir de l'imagination est réel
"L'imagination, c'est l'art de donner vie à ce qui n'existe pas."

Lorsque vous êtes dans l'attente d'une situation difficile, vous ne pouvez vous empêcher en pensée d'imaginer les choses souffrantes qui pourraient vous arriver. Par exemple, lorsque vous êtes dans l’attente de rédiger un examen important, vous imaginez la possibilité rater vos études. Lorsque vous êtes dans l’attente de passer une entrevue, vous vous imaginez sans-emploi en permanence. Lorsque vous attendez pour passer un test médical, vous vous imaginez déjà avec le cancer.

Par la pensée, nous nous torturons parfois pour un événement qui ne se réalisera peut-être jamais. À l'inverse, lorsque nous sommes dans l'attente d'un événement positif (par exemple retrouver un être cher après une longue absence), nous vivons par anticipation la joie et le plaisir en imaginant l'événement désiré.

En utilisant votre imagination, vous pouvez vous projeter dans le futur et ressentir dès maintenant un événement. Le pouvoir de l'imagination est réel autant positivement que négativement. Lorsque bien utilisée, votre imagination peut être très puissante pour changer vos états d'âme.

Une façon simple d'utiliser votre imagination positivement est d'imaginer que vous êtes au paradis. Imaginez que vous êtes dans un endroit beau, harmonieux, où tout le monde vous aime et où vous aimez tout le monde. Cette approche vous semble trop simpliste pour donner des résultats, alors faites en l'expérience pendant quelques minutes et observez l'impact sur votre humeur. Vous n'avez que quelques minutes à perdre et une bonne habitude à gagner.

"Ce que l'imagination saisit comme beauté doit être la vérité."
John Keats

วันพฤหัสบดีที่ 14 สิงหาคม พ.ศ. 2551

La naissance du tennis

Le tennis est une adaptation anglaise du jeu de paume. À la suite de la bataille d'Azincourt (1415), le duc d’Orléans est emprisonné pendant deux décennies en Angleterre. À l’occasion de cette captivité à Wingfield dans le comté de Norfolk, le duc introduit en Angleterre le jeu de paume qu’il pratique presque quotidiennement[3].

Le tennis est né selon les sources entre 1858 et 1870 soit plus de quatre siècles plus tard. En 1858 le major Harry Gem esquisse une sorte de court de tennis sur le gazon de sa propriété : il joue un jeu assez similaire au tennis actuel. Vers 1863 le Major Walter Clopton Wingfield, le descendant du châtelain de Wingfield, pratique aussi une sorte de tennis dans sa résidence à Londres. Vers 1869 dans le Warwickshire, Harry Gem et son ami espagnol Augurio Perera expérimentent une nouvelle version du jeu qu'ils appelèrent d'abord pelota puis plus tard lawn rackets. Gem, Perera, Frederic Haynes et Arthur Tomkin forment un club à Leamington : c'est le premier club de lawn tennis du monde. C'est donc probablement Harry Gem qui a inventé le « tennis moderne » (issu du jeu de paume français) mais c'est Wingfield qui est passé à la postérité car il a commercialisé ce sport sous le nom de « Sphairistike » le 23 février 1874 mais il ne l'a pas inventé comme la légende le prétend. Le sphairistike est la conséquence du jeu de paume et de l’invention du caoutchouc qui permet de réaliser des balles pouvant rebondir sur l’herbe. C'est le chaînon manquant entre le jeu de paume et le tennis[4]. Le tennis en Angleterre a d'ailleurs pour nom Lawn Tennis (tennis sur herbe en anglais) tandis que le jeu de paume est désigné sous le nom Real Tennis (vrai tennis). Le mot « tennis » lui-même provient de l'avertissement « Tenez ! » que donnait le lanceur de balle au départ d'un échange au jeu de paume.

Il semble que le premier tournoi de tennis eut lieu en Août 1876 sur un court aménagé dans la propriété de M. William Appleton à Nahant dans le Massachusetts et remporté par James Dwight[5]. Suit le Tournoi de Wimbledon en 1877 du 9 au 16 (ou 19) juillet, futur Internationaux amateurs de Grande-Bretagne, qui est donc le plus vieux tournoi encore existant. La finale de la première édition se joue devant 200 spectateurs. L’Anglais Spencer Gore s’impose en simple messieurs (24 participants). À l’occasion de ce tournoi, les règles du sphairistike de Wingfield sont modifiées par les organisateurs qui deviennent, de fait, et pendant une décennie, la seule autorité en matière de tennis.


Joueuse de tennis en 1881La France, jadis terre d'élection par excellence du jeu de paume, n'attend pas longtemps pour succomber aux charmes du tennis promu par Wimbledon. Dès 1878, le premier club de tennis est fondé en France à Dinard, en Bretagne[6]. Dans le même temps, les premières parties ont lieu en Australie.

D'autres tournois suivent très vite : en 1878 un tournoi aurait été organisé au Montréal Cricket Club, et les premiers championnats amateurs d'Écosse eurent lieu en indoor sur bois cette même année, les Championnats amateurs d'Irlande débutèrent en 1879 au Fitzwilliam Club de Dublin, ceux de Bohême la même année et ceux de la colonie australienne du Victoria à Melbourne en 1880, chaque colonie australienne crée d'ailleurs son tournoi bien avant le 1er championnat national australien, organisé en 1905 et intitulé « Internationaux d'Australasie », futur Open d'Australie. Les championnats des États-Unis sont organisés pour la première fois à Newport en 1881 (la 1re édition réservée aux citoyens du pays est l'ancêtre de l'US Open, etc.). Le tennis est donc né sous l'ère victorienne avec des règles victoriennes : le sport dans ces conditions ne peut être pratiqué que comme un loisir par de riches aristocrates, donc sans besoin d'argent pour vivre, et ne peut donc faire l'objet d'une profession rémunérée. Ceci explique pourquoi les professionnels du tennis sont longtemps bannis du circuit traditionnel et considérés comme des pestiférés. De plus les responsables du tennis, très jaloux de leur autorité, un autre héritage de l'époque victorienne, ne souhaitent absolument pas avoir affaire à des joueurs professionnels indépendants de leur volonté : c'est ainsi une autre raison pour écarter les « pros » du circuit traditionnel. Plus tard est créé en 1891 le Championnat de France de tennis qui devient véritablement international en 1925 sous le nom « Internationaux de France de tennis ».

En 1933 quand l'Australien Jack Crawford qui a gagné les Internationaux amateurs d'Australie, de France à Roland Garros, de Grande-Bretagne à Wimbledon, atteint aussi la finale des Internationaux amateurs des États-Unis à Forest Hills, les journalistes John Kieran et Allison Danzig utilisent pour la première fois l'expression « Grand Slam » (tirée du brigde et aussi du golf) en évoquant une possible victoire de l'Australien dans les quatre tournois la même année. Ces championnats commencent à prendre de l'importance car les quatre pays hôtes sont les seuls pays de l'époque qui ont remporté la Coupe Davis qui est la plus grande compétition amateur internationale pendant au moins 40 ans de 1920 à 1960 (elle désigne souvent le numéro 1 mondial amateur et a bien plus d'importance que Wimbledon ou Forest Hills). Cette compétition est créée par Dwight Davis en 1900 et oppose dans un premier temps uniquement les Îles Britanniques aux États-Unis. Il n'y a pas d'édition en 1901. Puis d'autres pays souhaitent participer et jusqu'en 1973 seuls les 4 pays cités remportent cette compétition par équipes. En 1938 Donald Budge a l'idée de gagner les championnats des 4 pays vainqueurs de la Coupe : il est donc le premier joueur à consciemment tenter le Grand Chelem (Crawford n'avait aucune intention à l'origine d'aller aux États-Unis car notamment il souffrait du climat new-yorkais) et à le réussir. Ceci devient la véritable référence individuelle du tennis amateur dans les années 1950, plus précisément en 1956 lorsque Lew Hoad est à deux doigts (deux sets précisément) d'accomplir cet exploit. Lorsque le tennis devient « Open » en 1968 le Grand Chelem devient le Graal de tous les joueurs. La version féminine de la Coupe Davis est la Coupe de la Fédération, mieux connue aujourd'hui sous le nom de « Fed Cup ».