วันพุธที่ 15 ตุลาคม พ.ศ. 2551



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Le pouvoir de l'imagination est réel
"L'imagination, c'est l'art de donner vie à ce qui n'existe pas."

Lorsque vous êtes dans l'attente d'une situation difficile, vous ne pouvez vous empêcher en pensée d'imaginer les choses souffrantes qui pourraient vous arriver. Par exemple, lorsque vous êtes dans l’attente de rédiger un examen important, vous imaginez la possibilité rater vos études. Lorsque vous êtes dans l’attente de passer une entrevue, vous vous imaginez sans-emploi en permanence. Lorsque vous attendez pour passer un test médical, vous vous imaginez déjà avec le cancer.

Par la pensée, nous nous torturons parfois pour un événement qui ne se réalisera peut-être jamais. À l'inverse, lorsque nous sommes dans l'attente d'un événement positif (par exemple retrouver un être cher après une longue absence), nous vivons par anticipation la joie et le plaisir en imaginant l'événement désiré.

En utilisant votre imagination, vous pouvez vous projeter dans le futur et ressentir dès maintenant un événement. Le pouvoir de l'imagination est réel autant positivement que négativement. Lorsque bien utilisée, votre imagination peut être très puissante pour changer vos états d'âme.

Une façon simple d'utiliser votre imagination positivement est d'imaginer que vous êtes au paradis. Imaginez que vous êtes dans un endroit beau, harmonieux, où tout le monde vous aime et où vous aimez tout le monde. Cette approche vous semble trop simpliste pour donner des résultats, alors faites en l'expérience pendant quelques minutes et observez l'impact sur votre humeur. Vous n'avez que quelques minutes à perdre et une bonne habitude à gagner.

"Ce que l'imagination saisit comme beauté doit être la vérité."
John Keats

วันพฤหัสบดีที่ 14 สิงหาคม พ.ศ. 2551

La naissance du tennis

Le tennis est une adaptation anglaise du jeu de paume. À la suite de la bataille d'Azincourt (1415), le duc d’Orléans est emprisonné pendant deux décennies en Angleterre. À l’occasion de cette captivité à Wingfield dans le comté de Norfolk, le duc introduit en Angleterre le jeu de paume qu’il pratique presque quotidiennement[3].

Le tennis est né selon les sources entre 1858 et 1870 soit plus de quatre siècles plus tard. En 1858 le major Harry Gem esquisse une sorte de court de tennis sur le gazon de sa propriété : il joue un jeu assez similaire au tennis actuel. Vers 1863 le Major Walter Clopton Wingfield, le descendant du châtelain de Wingfield, pratique aussi une sorte de tennis dans sa résidence à Londres. Vers 1869 dans le Warwickshire, Harry Gem et son ami espagnol Augurio Perera expérimentent une nouvelle version du jeu qu'ils appelèrent d'abord pelota puis plus tard lawn rackets. Gem, Perera, Frederic Haynes et Arthur Tomkin forment un club à Leamington : c'est le premier club de lawn tennis du monde. C'est donc probablement Harry Gem qui a inventé le « tennis moderne » (issu du jeu de paume français) mais c'est Wingfield qui est passé à la postérité car il a commercialisé ce sport sous le nom de « Sphairistike » le 23 février 1874 mais il ne l'a pas inventé comme la légende le prétend. Le sphairistike est la conséquence du jeu de paume et de l’invention du caoutchouc qui permet de réaliser des balles pouvant rebondir sur l’herbe. C'est le chaînon manquant entre le jeu de paume et le tennis[4]. Le tennis en Angleterre a d'ailleurs pour nom Lawn Tennis (tennis sur herbe en anglais) tandis que le jeu de paume est désigné sous le nom Real Tennis (vrai tennis). Le mot « tennis » lui-même provient de l'avertissement « Tenez ! » que donnait le lanceur de balle au départ d'un échange au jeu de paume.

Il semble que le premier tournoi de tennis eut lieu en Août 1876 sur un court aménagé dans la propriété de M. William Appleton à Nahant dans le Massachusetts et remporté par James Dwight[5]. Suit le Tournoi de Wimbledon en 1877 du 9 au 16 (ou 19) juillet, futur Internationaux amateurs de Grande-Bretagne, qui est donc le plus vieux tournoi encore existant. La finale de la première édition se joue devant 200 spectateurs. L’Anglais Spencer Gore s’impose en simple messieurs (24 participants). À l’occasion de ce tournoi, les règles du sphairistike de Wingfield sont modifiées par les organisateurs qui deviennent, de fait, et pendant une décennie, la seule autorité en matière de tennis.


Joueuse de tennis en 1881La France, jadis terre d'élection par excellence du jeu de paume, n'attend pas longtemps pour succomber aux charmes du tennis promu par Wimbledon. Dès 1878, le premier club de tennis est fondé en France à Dinard, en Bretagne[6]. Dans le même temps, les premières parties ont lieu en Australie.

D'autres tournois suivent très vite : en 1878 un tournoi aurait été organisé au Montréal Cricket Club, et les premiers championnats amateurs d'Écosse eurent lieu en indoor sur bois cette même année, les Championnats amateurs d'Irlande débutèrent en 1879 au Fitzwilliam Club de Dublin, ceux de Bohême la même année et ceux de la colonie australienne du Victoria à Melbourne en 1880, chaque colonie australienne crée d'ailleurs son tournoi bien avant le 1er championnat national australien, organisé en 1905 et intitulé « Internationaux d'Australasie », futur Open d'Australie. Les championnats des États-Unis sont organisés pour la première fois à Newport en 1881 (la 1re édition réservée aux citoyens du pays est l'ancêtre de l'US Open, etc.). Le tennis est donc né sous l'ère victorienne avec des règles victoriennes : le sport dans ces conditions ne peut être pratiqué que comme un loisir par de riches aristocrates, donc sans besoin d'argent pour vivre, et ne peut donc faire l'objet d'une profession rémunérée. Ceci explique pourquoi les professionnels du tennis sont longtemps bannis du circuit traditionnel et considérés comme des pestiférés. De plus les responsables du tennis, très jaloux de leur autorité, un autre héritage de l'époque victorienne, ne souhaitent absolument pas avoir affaire à des joueurs professionnels indépendants de leur volonté : c'est ainsi une autre raison pour écarter les « pros » du circuit traditionnel. Plus tard est créé en 1891 le Championnat de France de tennis qui devient véritablement international en 1925 sous le nom « Internationaux de France de tennis ».

En 1933 quand l'Australien Jack Crawford qui a gagné les Internationaux amateurs d'Australie, de France à Roland Garros, de Grande-Bretagne à Wimbledon, atteint aussi la finale des Internationaux amateurs des États-Unis à Forest Hills, les journalistes John Kieran et Allison Danzig utilisent pour la première fois l'expression « Grand Slam » (tirée du brigde et aussi du golf) en évoquant une possible victoire de l'Australien dans les quatre tournois la même année. Ces championnats commencent à prendre de l'importance car les quatre pays hôtes sont les seuls pays de l'époque qui ont remporté la Coupe Davis qui est la plus grande compétition amateur internationale pendant au moins 40 ans de 1920 à 1960 (elle désigne souvent le numéro 1 mondial amateur et a bien plus d'importance que Wimbledon ou Forest Hills). Cette compétition est créée par Dwight Davis en 1900 et oppose dans un premier temps uniquement les Îles Britanniques aux États-Unis. Il n'y a pas d'édition en 1901. Puis d'autres pays souhaitent participer et jusqu'en 1973 seuls les 4 pays cités remportent cette compétition par équipes. En 1938 Donald Budge a l'idée de gagner les championnats des 4 pays vainqueurs de la Coupe : il est donc le premier joueur à consciemment tenter le Grand Chelem (Crawford n'avait aucune intention à l'origine d'aller aux États-Unis car notamment il souffrait du climat new-yorkais) et à le réussir. Ceci devient la véritable référence individuelle du tennis amateur dans les années 1950, plus précisément en 1956 lorsque Lew Hoad est à deux doigts (deux sets précisément) d'accomplir cet exploit. Lorsque le tennis devient « Open » en 1968 le Grand Chelem devient le Graal de tous les joueurs. La version féminine de la Coupe Davis est la Coupe de la Fédération, mieux connue aujourd'hui sous le nom de « Fed Cup ».

วันพฤหัสบดีที่ 31 กรกฎาคม พ.ศ. 2551

Hibiscus syriacus


Hibiscus syriacus est une espèce d'arbuste du genre Hibiscus de la famille des Malvacées, originaire des régions tempérées d'Extrême-Orient, très largement cultivée comme plante ornementale dans les jardins.

Il est aussi appelé hibiscus commun des jardins, althéa, guimauve en arbre, mauve en arbre, ketmie des jardins (ou Rose of Althea ou Rose of Sharon en anglais).




Description
L'Hibiscus syriacus est un arbuste qui peut atteindre cinq mètres de hauteur et autant de largeur.
Les feuilles, caduques, sont alternes, simples, ovales ou lancéolées, à bord denté ou ondulé.

Les fleurs, éphémères, à symétrie centrale (actinomorphes) ont de 6 à 8 cm de diamètre et apparaissent de juillet à octobre. Elles sont isolées ou groupées en inflorescences. Le calice compte cinq sépales libres, la corolle cinq pétales libres ou légèrement soudés à la base. Les cinq étamines sont soudées entre elles, formant un long tube. Le pistil possède assez souvent cinq ovaires et un long style passant à l'intérieur du tube des étamines. Les stigmates ne s'ouvrent que lorsque les étamines sont flétries, permettant une fécondation croisée[1].

Les fruits sont des capsules qui s'ouvrent à maturité pour libérer les graines souvent velues.

Origine et distribution
Cette espèce originaire d'Asie est arrivée en Europe via la Syrie au XVIe siècle.

Culture

Il est souvent planté dans les régions à été chaud pour ses jolies fleurs éphémères

A l'état naturel, l'Hibiscus syriacus forme un joli petit arbre fleuri mais en le taillant chaque année (à la fin de l'hiver), on peut également en faire un buisson touffu très ramifié aux tiges dressées .

L'althéa fleurit sur le bois de l’année. On a donc intérêt à le tailler régulièrement pour obtenir une meilleure floraison.

De croissance assez rapide (30 à 40 cm par an), il apprécie le plein soleil en été et est très rustique en hiver (jusqu'à -15° C).

On peut le multiplier très facilement par semis mais sans reproduire fidèlement les variétés.

Initialement mauve, l'Hibiscus syriacus est une des marottes des horticulteurs depuis des dizaines d'années. Suite à de nombreuses hybridations, on trouve aujourd'hui des althéas à fleurs blanches, roses, rouges, bleues ou bicolores. En corolles, elles peuvent être solitaires ou portées par paires, simples ou doubles, et ont dans certaines variétés un cœur plus soutenu du plus bel effet.

Symbole de la Corée du Sud
Hibiscus syriacus est la fleur nationale de la Corée du Sud. La fleur (mugunghwa en coréen, (hangul : 무궁화; hanja: 無窮花)) apparaît sur l'emblème national et est évoquée dans l'Aegukga, l'hymne national, car elle a la réputation de résister longtemps (mugung signifie « immortalité »). Cette fleur évoque la persévérance et la détermination des Coréens au cours de leur histoire.

Des fleurs comestibles
L'Althéa doit son nom au grec althaïno qui signifie guérir en allusion à ses propriétés médicinales. En effet, la fleur est comestible et a des propriétés émollientes (qui détend, ramollit les tissus). Elles étaient autrefois utilisées en médecine populaire pour calmer la toux et guérir les angines.


วันพุธที่ 23 กรกฎาคม พ.ศ. 2551

Citrouille


La citrouille (Cucurbita pepo) est une plante annuelle appartenant au genre Cucurbita et à la famille des Cucurbitaceae. C'est aussi le nom de son fruit volumineux, de couleur jaune orangé.

Appellation
Dans le langage courant, ce terme est plus ou moins synonyme de potiron. Les véritables citrouilles sont des cultivars de courge de l'espèce Cucurbita pepo et de la sous-espèce Cucurbita pepo ssp. pepo, de taille respectable, mais moins importantes que les courges géantes ou potirons. Citrouille véritable et courgettes sont partie de la même sous-espèce.

Étymologiquement, « citrouille » dérive du latin citreum, citron, par analogie de couleur. Le mot est attesté en français depuis le XIIIe siècle sous plusieurs formes : « citrulle », « citrole ». A noter que le genre Citrullus désigne des coloquintes vraies et n'a rien à voir avec les citrouilles.

Plusieurs variétés de citrouille existent, dont la citrouille de Touraine, utilisée autrefois pour la nourriture des animaux. La citrouille géante Atlantique est en fait une variété de potiron (Cucurbita maxima).

Usage médical
Selon une récente étude chinoise [1], l’ingestion d’extraits de citrouille pourrait permettre aux diabétiques de type I de ne plus avoir à s’injecter de l’insuline chaque jour.

Légendes



La citrouille a été rendue célèbre par le conte Cendrillon dont la version de Charles Perrault fut largement reprise par Walt Disney. Dans cette version du conte, la marraine-fée de Cendrillon transforme d'un coup de baguette une citrouille en carrosse, des animaux en serviteurs et les vieux habits de sa filleule en habits de draps d’or et d’argent chamarrés de pierreries ; mais elle lui recommandera néanmoins de quitter le bal avant minuit, faute de quoi tout ce qu'elle lui a donnée redeviendra comme avant. Perrault ne décrit pas précisément la citrouille que la fée demande à Cendrillon de rapporter du jardin ; il dit seulement qu'elle « est la plus belle du potager ».

La citrouille apparaît également dans une fable de Jean de La Fontaine, « Le Gland et la Citrouille » dont la morale est que « Dieu fait bien ce qu’il fait ».


La citrouille dans le folklore



Cette plante est l'emblème d'une fête traditionnelle nord-américaine, l'Halloween, récemment importée sur le Vieux Continent. Les citrouilles sont évidées, découpées en forme de visage et illuminées. On les place à l'extérieur de la maison le soir de l'Halloween pour indiquer aux enfants qu'ils peuvent venir chercher des friandises.

Ce sont des Jack-o'-lantern, ou Citrouille lanterne.

วันพฤหัสบดีที่ 10 กรกฎาคม พ.ศ. 2551

Rose (fleur)



La rose est la fleur des rosiers, arbustes du genre Rosa et de la famille des Rosaceae. La rose des jardins se caractérise avant tout par la multiplication de ses pétales imbriqués qui lui donnent sa forme caractéristique.

Appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l'Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C'est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l'églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».

Les rosiers cultivés sont le résultat de plusieurs siècles de transformations d'abord empiriques, puis, dès la fin du XVIIIe siècle, méthodiques, en particulier par l'hybridation. Les variétés sont innombrables, on estime à plus de 3000[1] le nombre de cultivars disponibles actuellement dans le monde.

Étymologie
Le mot « rose », daté en français du début du XIIe siècle[2] est dérivé du latin rosa, rosae (substantif féminin) qui désignait aussi bien la fleur que le rosier lui-même. Ce terme, apparenté au grec rhodon, aurait été emprunté à une langue orientale. Il est tentant de rapprocher « rose» de « rosée », pourtant cette rencontre, source d'inspiration inépuisable pour les poètes, est fortuite en français. En effet « rosée » dérive, par l'intermédiaire du bas-latin rosata, du latin ros, roris (substantif masculin), peut-être apparenté au grec drosos, venant d'une autre racine indo-européenne.

Symbolique de la rose
La rose dans l'histoire


C'est surtout par sa valeur symbolique que la rose a laissé son parfum dans l'Histoire. Quelques exemples :

Chez les Grecs, la rose était la fleur d'Aphrodite, déesse de l'amour et d'Aurora, la déesse aux doigts de roses.

Les Romains rattachent la rose à Vénus. La rose aurait été blanche, mais rougie accidentellement quand Cupidon renversa son verre de vin sur elle.

Il paraît que la première nuit d'amour entre Cléopâtre et Marc Antoine se serait déroulée sur un lit de pétales de roses de quarante-cinq centimètres d'épaisseur.

Dans le Cantique des cantiques, la rose symbolise Israël[9] et dans le livre des Parsis, le rose naît sans épines et n'en est armée qu'après l'apparition du génie du mal sur terre.

Vers l'an 400, Rosa ×alba devient l'emblème de la Vierge, ce qui est à l'origine de la dévotion catholique du Rosaire.

Quand en 1187, Saladin reprend Jérusalem aux Croisés, il fait purifier la mosquée d'Omar par de l'eau de rose amenée par une caravane de 500 chameaux. Et en 1453 Mehmed II purifia aussi à l'eau de rose l'église byzantine de Constantinople avant de la convertir en mosquée.

La guerre des Deux-Roses de 1453 à 1485 : elle opposa Rosa ×alba, rose blanche de la maison d'York et rosa Gallica, rose rouge de la maison de Lancastre, d'où après le mariage d'Henri VII Tudor et Élisabeth d'York, l'emblème de la rose Tudor rouge à cœur blanc et plus tard la création du rosier ‘York et Lancaster’. La rose est aujourd'hui encore la fleur symbolique de l'Angleterre.

Les rosières, jeunes filles vertueuses et pures, étaient à l'origine couronnées de roses

Les Rose-Croix, société secrète mystique ayant pour emblème une rose rouge fixée au centre d'une croix.

La "Rose blanche de Finlande", ordre national finlandais créé en 1919 pour récompenser les services rendus au pays.

La Rose blanche, mouvement d'opposition à Hitler dont les fondateurs furent guillotinés en 1943.


Le poing à la rose de l'Internationale socialistePlus récemment, la rose rouge, associée par François Mitterrand au Parti socialiste français. Ce symbole a également été adopté par d'autres partis politiques européens comme le parti travailliste au Royaume-Uni et le PSOE en Espagne.

En novembre 2003, la rose est le symbole du mouvement non-violent de la « révolution des Roses » en Géorgie.

วันอังคารที่ 8 กรกฎาคม พ.ศ. 2551

Papaye



Description
C'est une baie anguleuse ou arrondie à la pulpe comestible, pouvant peser à peu près un kilogramme ou plus et renfermant de nombreuses graines.

Production
Sa production mondiale est de 5 443 tonnes en 2001 avec le Brésil comme plus important producteur (1 450 tonnes), suivi du Nigéria (748 tonnes), de l'Inde (644 tonnes) et du Mexique (612 tonnes).

Utilisations
De la papaye verte on extrait une protéase attendrissante appelée papaïne.
Le latex de la papaye verte peut aussi être utilisé dans la fabrication du chewing-gum.
La papaye est souvent utilisée pour cicatriser plus vite les plaies.

Alimentation
Ce fruit légèrement âcre se consomme nature, comme pour le melon, il faut enlever les graines se trouvant à l'intérieur.
On y ajoute parfois un filet de citron.

Il sert de base aussi à la salade thaï, le som tam.